Voorbeelden uit tekstcorpus voor Huns
1. Et certes sur les ruines de l‘empire carolingien, les Huns comme les Sarrasins déferlent en Europe.
2. L‘hypoth';se de la filiation des Hongrois avec les Huns, «fléau de Dieu», a été véhiculée depuis le haut Moyen Age par le récit de leurs incursions dévastatrices en Europe.
3. Męme les origines sont troubles: il est s$';r que les tribus qui ont traversé les Carpates en automne 8'6 n‘étaient ni des Mongols, ni des Huns mais un mélange d‘ethnies qui ont forgé une identité commune autour d‘une langue finno–ougrienne dans le creuset des steppes russes.
4. Peut–ętre, mais pas de tout repos d';s lors qu‘il s‘agit de contenir les débordements d‘un squelette de tyrannosaure, d‘un singe voleur de clés, d‘Attila et de sa bande de Huns et d‘autres évadés de leurs dioramas pas particuli';rement faits pour cohabiter.
5. D‘autres observateurs notent dans la région de Sierre et Sion un taux anormalement élevé d‘individus rappelant «ŕ un haut degré les n';gres soudanais». On trouve aux habitants de la vallée de Saas des ressemblances parfois avec les Africains du Nord, tantôt avec les Italiens du Sud, ou alors on croit y discerner «des traits sémitiques». Les bédouins d‘Isérables Le village d‘Isérables, au–dessus de Riddes, est une source perpétuelle de fantasme ethnique en raison du surnom des habitants, toujours en vigueur – les bedjuis – qui évoquerait leurs origines «berb';res ou bédouines». Quant aux Anniviards, leur «parler hermétique» et leurs habitudes nomades en font fatalement les descendants des Huns, ou plus exactement des «survivants des troupes d‘Attila cherchant refuge dans les Alpes apr';s leur désastre italien». Et puis il y a ce professeur genevois, Sauter, qui trouve «des crânes dolichocéphale (négroďde) dans les sépultures valaisannes.